La Eucaristía es sacramento porque Cristo se nos da como alimento para el alma, y es sacrificio porque se ofrece a Dios en oblación.
La Eucaristía como sacrificio
A pesar de que el sacramento y el sacrificio se llevan a cabo en la misma consagración, hay que distinguirlos. La Eucaristía es sacramento porque Cristo se nos da como alimento para el alma, y es sacrificio porque se ofrece a Dios en oblación.
En el sacramento la santificación del hombre es el fin, pues se le da como alimento y en el sacrificio el fin es darle gloria a Dios, es a Él a quien va dirigido. Así mismo, la Eucaristía es sacrificio de la Iglesia – Cuerpo Místico de Cristo – que se une a Él y se ofrece a Dios.
Desde el principio de la creación, el sacrificio es el principal acto de culto de las diferentes religiones, siempre se le han rendido a Dios homenajes. El sacrificio es un ofrecimiento a Dios, donde existe una cosa sensible que se inmola o se destruye (víctima), llevándolo a cabo un ministro legítimo, en reconocimiento del poder de Dios sobre todo lo creado.
El sacrificio de la Misa – La Misa es el mismo sacrificio de la cruz, con todo su valor infinito. En él se cumplen todas las características del sacrificio, el sacerdote, y la víctima son el mismo Cristo, quien se inmola con el fin de darle gloria de Dios. No es una representación, sino una renovación, del sacrificio de la cruz. En cada una se repite el sacrificio de la cruz, la única diferencia es que se realiza de forma incruenta, sin derramamiento de sangre. La Misa es el perfecto sacrificio porque la víctima es perfecta. leer...
El Sacrificio de la Misa, el de la Cena, y el de la Cruz son, en cuanto a la sustancia, un solo y mismo sacrificio.
Qué es la Misa.La santa Misa es el Sacrificio en el cual se ofrece y se inmola incruentamente Jesucristo, Dios y Hombre verdadero, bajo las especies del pan y del vino, por ministerio del Sacedote-celebrante; para reconocer el supremos dominio de Dios y aplicarnos a nosotros las satisfacciones y méritos de su Pasión y Muerte.El Sacrificio de la Misa, el de la Cena, y el de la Cruz son, en cuanto a la sustancia, un solo y mismo sacrificio. La diferencia entre los tres proviene del modo diferente con que en cada uno de ellos se ofrece. En efecto: en la Cena Jesucristo se inmoló mística y personalmente, sin derramamiento de sangre, en estado todavía mortal y anunciando su próxima muerte; mientras que en la Misa se inmola también místicamente y sin derramamiento de sangre, pero por ministerio del sacerdote, y en estado inmortal y glorioso, y recordando la muerte ya acaecida; en tanto que, en la Cruz, Jesucristo se inmoló de un modo real, visible, con derramamiento de sangre y personalmente, y una vez para siempre. Ademas: en la Cruz Jesucristo se inmoló para merecer y satisfacer por nosotros mientras que en la Cena y en la Misa lo hace para aplicarnos aquellos méritos y satisfacciones. De modo que, al asistir el cristiano a la Misa, es como si asistiera simultáneamente a ella, a la Cena y a la Muerte de Cristo.
Fines de la Misa.La Misa se ofrece para cuatro grandes fines:
1. para dar a Dios el culto supremo de adoración;
2. para agradecerle todos sus inmensos beneficios;
3. para pedirle todos los bienes espirituales y temporales;
4. para satisfacerle por todos nuestros pecados.
Cuando se asiste, pues, a Misa, se deben tener en cuenta estos cuatro grandes fines o intenciones generales, a los cuales cada uno puede añadir otros particulares. Por eso la Misa llena todas las necesidades y satisface todas las aspiraciones del alma y resume en sí toda la esencia de la Religión.
1. para dar a Dios el culto supremo de adoración;
2. para agradecerle todos sus inmensos beneficios;
3. para pedirle todos los bienes espirituales y temporales;
4. para satisfacerle por todos nuestros pecados.
Cuando se asiste, pues, a Misa, se deben tener en cuenta estos cuatro grandes fines o intenciones generales, a los cuales cada uno puede añadir otros particulares. Por eso la Misa llena todas las necesidades y satisface todas las aspiraciones del alma y resume en sí toda la esencia de la Religión.
Valor de la Misa.El valor de la Misa, en cuanto a su suficiencia, es infinito, tanto en la extensión como en la intensidad, y ello a causa de la dignidad del Pontífice y de la Hostia, que es el mismo Jesucristo. Por consiguiente, la Misa es por sí misma suficiente para borrar los crímines de todos los hombres, para satisfacer por todas las deudas y para alcanzar de Dios todos los bienes espirituales y materiales, en relación a la salvación. En cuanto a su eficacia práctica, el valor "latréutico" (o de adoración) y el valor "eucarístico" (o de acción de gracias) de la Misa es también infinito, ya que una sola Misa procura a Dios una gloria que sobrepuja a todas las alabanzas de todas las criaturas visibles e invisibles; empero la eficacia impetratoria y satisfactoria de la Misa, es, de suyo, finita y limitada, y proporcionada a nuestra capacidad y disposiciones.
Insuffisance des sacrifices de l’ancien testament, et dignité de celui du nouveau
Insuffisance des sacrifices de l’ancien testament, et dignité de celui du nouveau
Mais comme tous ces sacrifices de l’ancienne loi n’étaient point capables d’honorer Dieu dignement, ni de mériter les grâces du salut, ni d’expier les péchés, ils ont été abolis tous ; et Jésus-Christ leur a substitué le sacrifice de son Corps et de son Sang, qu’il a offert uns fois sur la Croix pour la gloire de son Père et pour le salut des hommes, et qu’il renouvelle chaque jour sur nos Autels. Ainsi dans la loi nouvelle il n’y a proprement qu’un seul sacrifice, qui est celui de la Croix, renouvelé et continué par celui de la Messe, parce qu’il n’y a que ce seul sacrifice qui soit absolument digne de Dieu, qui lui soit uniquement agréable, et qui puisse mériter les grâces du salut et expier les péchés des hommes.
1° Ce sacrifice est digne de Dieu et il lui procure la gloire et l’honneur qu’il mérite, puisqu’on lui offre une victime d’un prix infini, c’est-à-dire Jésus-Christ qui est Dieu lui-même, égal à son Père.
2° Il lui est uniquement agréable, puisque c’est son Fils bien-aimé.
3° C’est la source de toutes les grâces du salut, car toutes les grâces qui ont été données aux hommes, même avant l’Incarnation, viennent des mérites infinis de Jésus-Christ. Il nous les a mérités en mourant sur la Croix, et il nous les applique en s’immolant sur nos Autels. Ainsi le sacrifice de la Croix a amassé le trésor des grâces, et celui de la Messe les distribue à chacun selon ses dispositions.
4° Le sacrifice de la Croix et de la Messe est plus que suffisant pour réparer l’outrage infini que les péchés ont fait à Dieu, et pour les expier, puisqu’une seule goutte du Sang de Jésus-Christ, étant d’un prix infini, eût suffi pour effacer les péchés du monde entier. De tout cela il s’ensuit aisément que la Messe est tout ce qu’il y a de plus grand, de plus saint dans la religion. Rien n’est plus glorieux à Dieu ni plus avantageux pour l’homme.
Les trois parties les plus essentielles de la Messe sont,
1° la consécration, puisque c’est dans ce moment que Jésus-Christ descend du ciel sur l’autel, et que le pain et le vin sont changés en son Corps et en son Sang ;
2° l’offrande du sacrifice, non seulement celle du pain et du vin, qui se fait à l’offertoire, mais surtout celle de Jésus-Christ même, qui se fait immédiatement après la consécration, lorsque le Prêtre levant la sainte Hostie et le Calice vers le Ciel présente au Père éternel son Fils bien-aimé, et lorsque ensuite, faisant le signe de la Croix sur l’hostie et sur le calice, il prononce ces paroles : " Nous vous offrons une hostie sainte, une hostie pure, une hostie sans tache, et le calice du salut éternel"
[Prière, Unde et memores... après la consécration dans la messe tridentine]. C’est donc surtout dans ces deux moments qu’on doit offrir à Dieu, avec le Prêtre, Jésus-Christ en sacrifice à son Père ;
3° la communion, qui est la participation et la consommation du sacrifice ; car de même que dans l’ancienne loi le Prêtre, après avoir offert une victime, y participait lui-même et en faisait part à celui qui l’avait donnée et pour qui elle avait été offerte, de même dans la nouvelle le Prêtre, après avoir offert le saint sacrifice de la Messe, doit nécessairement y participer ; et l’Église souhaiterait que les fidèles pour qui il est offert vécussent assez saintement pour être en état d’y participer aussi par la communion sacramentelle. Ils doivent du moins y participer par la communion spirituelle, qui se fait en s’unissant à Jésus-Christ en esprit par désir et par amour.lire...
Le prêtre à l'autel est le médiateur de Dieu et des hommes.
DE LA SAINTE MESSE
I - Comme on doit dire la Messe
Comme il n'y a point de culte sur la terre qui rende plus d'honneur à Dieu que le saint Sacrifice de la Messe, nous devons considérer cette action comme la plus importante de notre vie, et la faire avec toute la perfection qui nous est possible. Si le prêtre connaît son état et la grandeur de 'son ministère, il ne s'approchera jamais des autels qu'avec une horreur sacrée , et n'en sortira qu'avec une reconnaissance infinie.
II - Qu'est-ce qu'un prêtre à l'autel ?
Le prêtre à l'autel est le médiateur de Dieu et des hommes. C'est l'agent de la nature humaine et le député de l'Église, choisi de tout son corps pour traiter avec Dieu au nom de toutes les créatures ; pour lui rendre de leur part leurs soumissions et leurs hommages ; pour adorer sa grandeur infinie ; pour le remercier de ses bienfaits ; pour apaiser sa justice et obtenir grâce à tous les pécheurs ; enfin, c'est pour lui demander les nécessités corporelles et spirituelles de tous les hommes.
Ceux qui entendent la Messe se doivent persuader qu'il y a deux prêtres à l'autel : l'un visible, l'autre invisible ; l'un qui est principal, l'autre qui est subordonné ; l'un qui est Dieu et homme, l'autre qui est pur homme. Ou plutôt ils doivent croire qu'il n'y a qu'un prêtre en chef, qui est Jésus-Christ, lequel s'immole lui-même et se sacrifie par les mains de son ministre ; car il est en ces divins ministères le prêtre et la victime ; il sacrifie et il est sacrifié.lire...
O PODER DA SANTA MISSA
O PODER DA SANTA MISSA
Conforme o Rito Tridentino do Papa São Pio V.
Pe. Martinho de Cochem. > Sua Biografia.
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA pe. Martinho de Cochem
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES IV, V, VI E VII
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XI; XII; XIII E XIV
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XV; XVI E XVII
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XVIII; XIX; XX E XXI
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XXII; XXIII; XXIV; XXV E XXVI
EXPLICAÇÃO DA SANTAMISSA – PARTES XXVII; XXVIII; XXIX E XXX (FINAL)
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XI; XII; XIII E XIV
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XV; XVI E XVII
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XVIII; XIX; XX E XXI
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA - PARTES XXII; XXIII; XXIV; XXV E XXVI
EXPLICAÇÃO DA SANTAMISSA – PARTES XXVII; XXVIII; XXIX E XXX (FINAL)
EXPLICAÇÃO DA SANTA MISSA pe. Martinho de Cochem
VI. NA SANTA MISSA, JESUS CRISTO RENOVA SUA VIDA
Entre as coisas que encantam os sentidos, o teatro deve ser colocado em primeiro lugar.
Os homens acham-lhe tal prazer que gastam, para assistir às representações teatrais, muito tempo e muito dinheiro.
Se quiséssemos considerar, atentamente, os grandes mistérios da Missa e persuadir-nos que Jesus Cristo se aproxima do altar como ornado de suas vestes de festa, para aí reproduzir, à nossa vista, as cenas de sua vida maravilhosa, correríamos para a igreja ao primeiro toque do sino.
Mas, oh! loucura do mundo, quantos preferem jogar os bens aos comediantes a assistir à santa Missa, onde riquíssima recompensa é concedida a todo e qualquer espectador piedoso!
Responder-me-ás, talvez, caro leitor: "Não é de admirar que as pessoas frívolas prefiram assistir à comédia; querem distrair-se, e, na santa Missa, nada lhes encanta os olhos e os ouvidos".
Oh triste cegueira! Se essas pessoas superficiais tivessem os olhos da fé, gozariam da santa Missa profundamente, porque é o resumo da vida do Salvador e a reprodução de todos os seus mistérios. Não é somente uma representação poética de fatos passados, como seria um drama; é uma repetição verídica do que Jesus Cristo fez e sofreu sobre a terra.
Com efeito, na santa Missa, temos diante de nós o divino Menino, envolto em panos, como o acharam os pastores, qual os Magos vieram adorar, e qual Maria Santíssima colocou nos braços do velho Simeão. O mesmo divino Infante repousa sobre o altar e espera nossas homenagens e nosso amor. Ao Evangelho, esse mesmo Jesus repete-nos sua doutrina pela boca do sacerdote, com o mesmo proveito para a alma crente, que se lhe viesse dos próprios lábios.
Vemo-lo fazer um milagre maior que o de Caná, porque é mais admirável mudar o vinho em sangue, do que a água em vinho. É a renovação da última Ceia e de sua morte na Cruz. As mãos dos algozes não o atingem, porém as do sacerdote oferecem-no, como vítima expiatória, ao eterno Pai.
Aquele que sabe tirar proveito da santa Missa, pode receber dela o perdão dos seus pecados e a abundância das graças celestes.
"Toda a vida de Cristo, diz S. Dionísio, o Cartucho, não foi mais do que uma Missa solene, em que foi Ele o templo, o altar, o sacerdote e a vítima" (Vida sacerdotum, Antwerpiae, Vostermann, 1751).
Na verdade, Jesus Cristo revestiu-se das vestes sacerdotais no santuário do seio materno, onde nos tomou a carne e com ela a vestimenta da nossa mortalidade. Saiu desse santuário na noite sagrada do Natal e começou o "Introito", entrando no mundo. Entoou o "Kyrie eleison", lançando os primeiros vagidos no presépio; o "Glória in excelsis" foi entoado pelos Anjos, quando apareceram aos pastores, e, convidando-os a misturar seus louvores com os deles, conduziram-nos ao berço do recém-nascido.
Jesus disse a "Coleta" em suas vigílias noturnas, onde implorava a misericórdia divina para nós. Leu a "Epístola", quando explicava Moisés e os profetas, demonstrando que os tempos eram findos. Anunciou o "Evangelho", quando percorria a Judéia a pregar a boa nova. Fez o "Ofertório", quando, no mistério da apresentação, ofereceu-se a seu Pai pela salvação do mundo. Cantou o "Prefácio", louvando, por nós, a Deus sem cessar e agradecendo-lhe os benefícios.
O "Sanctus" foi entoado pelos hebreus, no dia de Ramos, quando, na entrada de Jesus em Jerusalém, clamavam: "Bendito seja aquele que vem em nome do Senhor! Hosana ao Filho de David!"
A "Consagração", o Salvador efetuou-a na última Ceia, pela transformação do pão e do vinho em seu Corpo e em seu Sangue. A "Elevação" realizou-se, quando foi pregado na Cruz, elevado nos ares e exposto em espetáculo aos olhos do mundo. O "Pater Noster", Jesus o disse na Cruz, pronunciando as sete palavras. A "fração da Hóstia" cumpriu-se, quando sua alma santíssima separou-se de seu corpo adorável. O "Agnus Dei", o centurião o disse no momento em que exclamou: "Verdadeiramente, este homem é o Filho de Deus!". A santa "Comunhão" foi o embalsamamento e a sepultura. A "bênção" no fim, Jesus a deu no monte das oliveiras, estendendo as mãos sobre os discípulos na ocasião da ascensão.
Eis a Missa solene celebrada por Jesus Cristo sobre a terra!
Ordenou que seus apóstolos e, depois deles, todos os sacerdotes, dissessem esta Missa, cada dia, ainda que mais resumida.
Somos, pois, tão favorecidos, e talvez mais do que os que viveram no tempo de Jesus. Eles ouviram uma única Missa, cujas partes foram celebradas em longos intervalos, enquanto nós podemos, cada dia, assistir a muitas e recolher, em pouco tempo, os frutos de toda a vida do Salvador.
Caro leitor, repassa, muitas vezes em teu espírito, a utilidade do santo Sacrifício da Missa, onde Jesus Cristo te faz participar dos méritos infinitos de sua santíssima vida e de sua paixão. Se fosse tão fácil adquirir bens temporais, não perderíamos um instante e não pouparíamos trabalho. Como, pois, somos tão pouco diligentes, quando se trata das riquezas eternas e dos tesouros que nem a ferrugem nem os ladrões podem nos arrebatar?
VII. NA SANTA MISSA, JESUS CRISTO RENOVA A SUA ORAÇÃO
"Temos, por advogado, junto ao Pai, Jesus Cristo, que é justo e santo; porque é a vítima de propalação por nossos pecados" (I Jo., 2, 1).
De certo é consoladora garantia de nossa Salvação, termos por advogado o próprio Filho de Deus, o Juiz dos vivos e dos mortos! Mas onde e quando Jesus Cristo desempenhou este ofício?ler...
Todos nós, sacerdotes, quer sejamos pecadores quer santos, quando celebramos a Santa Missa não somos nós próprios.
44 | Sacerdote para a Santa Missa Convém recordar, com importuna insistência, que todos nós, sacerdotes, quer sejamos pecadores quer santos, quando celebramos a Santa Missa não somos nós próprios. Somos Cristo, que renova no altar o seu divino Sacrifício do Calvário. A obra da nossa Redenção cumpre-se continuamente no mistério do Sacrifício Eucarístico, no qual os sacerdotes exercem o seu principal ministério, e por isso recomenda-se encarecidamente a sua celebração diária pois, mesmo que os fiéis não possam estar presentes, é um acto de Cristo e da sua Igreja . Ensina o Concilio de Trento que na Missa se realiza, se contém e incruentamente se imola aquele mesmo Cristo que uma só vez se ofereceu Ele mesmo cruentamente no altar da Cruz... Com efeito, a vítima é uma e a mesma: e O que agora se oferece pelo ministério dos sacerdotes, é O mesmo que então se ofereceu na Cruz, sendo apenas diferente a maneira de se oferecer.A assistência ou a falta de assistência de fiéis à Santa Missa não altera em nada esta verdade de fé. Quando celebro rodeado de povo, sinto-me satisfeito, sem necessidade de me considerar presidente de nenhuma assembleia. Sou, por um lado, um fiel como os outros, mas sou, sobretudo, Cristo no Altar! Renovo incruentamente o divino Sacrifício do Calvário e consagro in persona Christi, representando realmente Jesus Cristo, porque lhe empresto o meu corpo, a minha voz e as minhas mãos, o meu pobre coração, tantas vezes manchado, que quero que Ele purifique. Quando celebro a Santa Missa apenas com a participação daquele que ajuda à Missa, também aí há povo. Sinto junto de mim todos os católicos, todos os crentes e também os que não crêem. Estão presentes todas as criaturas de Deus - a terra, o céu, o mar, e os animais e as plantas -, dando glória ao Senhor da Criação inteira. http://pt.escrivaworks.org/book/amar_a_igreja-ponto-44.htm |
ORAÇÕES AO SANGUE DE CRISTO
Oraciones victoriosas
ORAÇÕES AO SANGUE DE CRISTO En la parte final de este folleto se colocan algunas de las oraciones que el Señor llama Victoriosas por llevar consigo asegurada la contra el mal si las rezamos con fe, amor y constancia, especialmente en los momentos de lucha y combate espiritual. 1. Sangre de Cristo protégeme; amor de Cristo protégeme; manto de María, cúbreme. Señor, establece con el poder de Tu Sangre Redentora una muralla de defensa a mi alrededor, una muralla entre mí y el mal y que el poder de Tu Sangre cubra hasta el más mínimo resquicio por donde el demonio quiera colarse. Te entrego, Señor, el combate contra Satanás en el día de hoy. Virgen María, extiende tu manto divino sobre mí; pon tus manos sobre mi cabeza y clama, Madre, por una nueva efusión del Espíritu Santo sobre mi vida (sobre nuestras…) para que yo pueda ver la verdad y omitir el mal en mi existencia.
2. Señor, queremos proclamar el poder de la Sangre Redentora de Cristo sobre nosotros, para que caiga como torrente poderoso pisando, aplastando, aniquilando y alejando para siempre las fuerzas del mal que nos rodean. Que tu preciosa Sangre, Señor Jesús, sea hoy y siempre, escudo y fortaleza contra los que choquen las fuerzas de nuestro adversario, el león rugiente que busca devorarnos; que yo sepa resistirle firmen la fe (1 Pedro, 5-8).
3. Cúbreme, Señor Jesús, con la ola de misericordia de Tu amor y revísteme de la coraza de Tu fuerza y Tu poder. San Pablo nos habla de “ponernos la Armadura de Dios para poder resistir las maniobras del diablo. Porque nuestra lucha no es contra fuerzas humanas, sino contra los gobernantes y autoridades que dirigen este mundo y sus fuerzas oscuras. Nos enfrentamos con los espíritus y fuerzas sobrenaturales del mal”. Nos pide el apóstol Pablo que nos hagamos robustos en el Señor “con su energía y su poder”; que “nos pongamos la Armadura de Dios, para que en el día malo podamos resistir y permanecer firmes a pesar de todo” (Ef 6, 10).
4. Ayúdame, Señor Jesús, a proclamar contínuamente la fuerza de tu Redención y el poder de tu gloriosa Resurrección y, y de esta manera, ninguna fuerza maléfica podrá acercárseme.
5. Sangre de Cristo protégeme; amor de Cristo protégeme; manto de María cúbreme. Coro de ángeles, establezcan a nuestro alrededor una muralla de defensa entre nosotros y el mal. Ángel de mi guarda, acompáñame y defiéndeme. San Miguel Arcángel, defiéndeme del maligno que me acecha; ponte a las puertas de este lugar, al lado de cada uno de nosotros y aplasta la cabeza de Satanás que nos acecha; él es el “mentiroso y asesino” desde el principio. Que sepa yo escuchar esa palabra de Dios que nos dice: “Resistan al diablo y huirá de ustedes” (Sant 4, 7). Ya Jesús les había dicho a sus Apóstoles en el Huerto de los Olivos: “Estén despiertos y oren para que no caigan en tentación, ya que el espíritu es animoso, pero la carnes es débil”. (Mc 14, 28)
6. Te pido, Jesús, amado del Padre, --a quien Él mira con cariño— que derrames la plenitud de tu Espíritu Santo con fuerza y poder arrolladores sobre todos nosotros, tus hijos de esa casa (este grupo, de esta comunidad, de este equipo…) para que, cubiertos con Tu sombra, seamos libres de toda asechanza del mal y así todos los caminos queden libres y expeditos para caminar detrás de tus pasos, Señor.
. Proclamo el nombre poderoso y victorioso de Jesús de Nazareth y el nombre poderoso y victorioso de María, Virgen y Madre, y la paz se hará presente y la fuerza del Espíritu Santo se hará sentir en medio de mi vida; huirá toda tristeza y el gozo llenará mi corazón. Invoco también tu tutela maternal, María, y el enemigo infernal huirá; se abrirán caminos y puertas a la acción del Espíritu Santo en nosotros y en nuestros familiares. La presencia arrolladora de este espíritu se hará sentir organizando y solucionando situaciones y problemas de toda índole. Que la luz de Tu Espíritu llegue a mí clara y radiante.
8. Establezco –con el poder de la Sangre Redentora de Cristo—un cerco de protección sobe mi cabeza y sobre todo mi ser para que toda onda sonora y cualquier radiación que pueda venir sobre mí (ya sea de poder mental, ya sea de cualquier fuerza del mal) choque contra ese cerco, rebote y se diluya para siempre. Gracias, Padre Santo, pues sé que cuanto te voy pidiendo en nombre de Tu Hijo Jesucristo, y de acuerdo a su santa voluntad, Tú me lo concedes. <<Pidan y recibirán, busquen y encontrarán, llamen y se les abrirá…”>> nos dijo el Señor. Gracias por escucharme, Padre amado.
9. Proclamamos, Señor Jesús, el poder glorioso de Tu Resurrección sobe nuestras mentes para que sean despejadas de todo obstáculo que como personas, ponemos al Señor, y que imposibilita la entrega y sumisión al plan divino. Proclamamos, Señor Jesús, el poder de Tu gloriosa Resurrección sobre nuestras vidas, para que penetre en nosotros como en una nueva vida, una vida restaurada en plenitud, para que, sintiendo dentro de nosotros Tu amor, este amor nos posea y nos transforme en verdaderos instrumentos de Tu gracia y de Tu amor.
10. Señor, danos el poder de Tu Santo Espíritu para realizar esta oración, este encuentro, para realizar lo que Tú nos pides que hagamos por nuestros hermanos, para llevar a feliz término esta misión. Señor, danos Tu fortaleza para vencer. Señor, danos Tu fortaleza para llegar al final de esta misión (de esta oración, de este día, de este encuentro, de…). Señor, danos Tu fortaleza para triunfar y así reconstruir Tu Reino, el Reino de la luz, del amor y de la paz.
Señor, danos Tu sabiduría para combatir las fuerzas del mal. Señor, danos Tu sabiduría para hablar en Tu nombre. Señor, danos Tu sabiduría para transmitirte a nuestros hermanos. Tú eres Jesús, la Luz del Mundo. Donde entra Tu luz hay verdad. Despeja nuestras mentes y acláranos todas las cosas. Tú eres, Jesús, la Luz del mundo y la luz de este lugar (de este momento, de esta misión, de este encuentro, de…).
11. Pido la protección especialísima del Señor sobre mi vida para que la fuerza y el poder de Dios vengan sobre las personas o situaciones que voy a liberar (o sobre esta oración que voy a hacer, o sobre esta entrevista que voy a tener, o sobre…) implorando, Señor, Tu presencia, Tu poder, Tu fuerza como escudo protector que descenderá sobre mí, y así toda la fuerza del mal quedará destruida al chocar contra la coraza de Tu amor sobre mi propia vida.
12. Señor, revísteme de la coraza de la valentía que tuvo Jesús para acogerse a su pasión, para aceptarla y enfrentarla con gran amor hacia sus enemigos; de esta manera se irán afinando más y más las armas de combate que debemos usar contra el enemigo infernal. Haz, Jesús, que poco a poco acepte aquellas palabras tuyas que tan duramente suenan hoy en muchos oídos: <<Si alguno quiere seguirme, que se niegue a sí mismo, que cargue con su cruz de cada día y me siga>> (Lc 9, 23).
13. Ante las tentaciones y situaciones difíciles, que el Espíritu Santo venga en nuestra ayuda. Digamos: “Señor Jesús, envía Tu Espíritu sobre mí. Dame una nueva efusión de Tu Espíritu y que éste Tu Espíritu, me dé la fortaleza, la valentía y la luz para seguirte. Ven, Espíritu Santo”.
14. Virgen María, me consagro a tu corazón inmaculado para que seas mi refugio constante en todo momento, y especialmente en los ataques fuertes del mal.
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5. Señor, que Tu misericordia nos proteja como bloque poderoso contra el cual choquen y se destruyan todas las fuerzas del mal.
16. Revíseme, Señor, con Tu poder para que con él desaloje el mal que me embestirá cada día. Revísteme, también, Señor, con la coraza de Tu amor misericordioso para que pueda pronunciar Tu nombre con verdadero deseo de ser amparado por Ti, por Tu poder, y fortalecido con Tu fuerza para dar combate incesante al enemigo.
17. Sangre de Cristo, protégeme; amor de Cristo, protégeme; manto de María cúbreme.
18. Por la señal de la Santa Cruz +, de nuestros enemigos +, líbranos Señor Dios nuestro +.
En el nombre del Padre, del Hijo y del Espíritu Santo. Amén. Bendíceme, Señor, y úngeme con Tu bendición, librándome así del asecho del mal. Amén. |
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